Lecture du poème, écrit à quatre mains avec Bertrand Lançon, accompagnée par Yann Pétillon au piano et d'Isaa à la flûte traversière.
Montage vidéo réalisé par Isaa.
Le texte est disponible ici.
Lecture du poème, écrit à quatre mains avec Bertrand Lançon, accompagnée par Yann Pétillon au piano et d'Isaa à la flûte traversière.
Montage vidéo réalisé par Isaa.
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[Le logogriphe est un poème énigmatique dont il faut trouver le mot par l'évocation de tous les autres mots que celui-ci comporte quand on lui retire une ou plusieurs lettres. Ce jeu littéraire était courant à la fin du dix-huitième siècle et au début du dix-neuvième. Il est ensuite tombé en désuétude, remplacé par la charade. Le logogriphe a son vocabulaire propre : les pieds sont les lettres du mot à trouver ; la tête signifie la première lettre de ce même mot et la queue, la dernière.]
Quoi qu’on fasse, une journée ne compte que vingt-quatre heures. Les quatrains suivants s’en accommodent, tous écrits en vingt-quatre mots...